quinta-feira, outubro 27, 2005

La Route

Escrevi essa letra há ja uns tempos, para uma musica que foi criada com um amigo de Paris. Posso dizer que a escrevi sem pensar...mas hoje ela me faz pensar muito...:

"Je vi de vanité et je me nourri du pêché
Tremblante est la poursuite de la connaissance
Seul sage est la noblesse du cœur
Poursuivi par la raison du devoir persécuté
Si le pouvoir donne aisance le reste dépense
Mais il ne sait où se meurt
Son lui-même qui n'échappe pas aux règles
Ni de la vie, ni de la mort
La vie est la mort de la raison
La mort est la vie de la perdition
Et je la fuit, plein de remord
En me cachant de ce pouvoir espiègle

Seul le sage qui attend la clôture de sa fin
La fin du début ramenant au début de la fin
Sait ce qui se passe à l'autre bout de la route
Demande lui donc ce qui t'attend dans cette déroute
Et il te répondra dans une calme totale
« Sans les célestes tout n'est que mort
L'immortalité est dans la beauté astrale
Cherche le pouvoir dans la transcendentalité
De la pensée et non pas dans l'or »

Ainsi en écoutant ses paroles pleines de sérénités
Je poursuit ma quête en guise de raison
Car je suis ici sans pouvoir de décision
Errant dans le but de me découvrir
Une vérité trop souvent écartée
Celle qui me dit tout le temps
Qu'il n'existe pas d'unique vérité
Mais une agrégation de règlement
Visant à nous masquer la vue
Pour qu'on vive repu..."

2 Comments:

Anonymous Anónimo said...

Concordo plenamente:) O texto é muito bonito e muito verdadeiro ao mesmo tempo. A única coisa que falta neste texto é o autor falar que o conhecimento pouco nos dá a menos que o partilhemos, pelo menos é essa a minha opinião!

16 janeiro, 2006 18:50  
Blogger Mitch Bacano said...

Claro, partilho a tua opinião a 100%. Como dizia o Platão ou eu (ja não me lembro), a filosofia faz se a discutir com amigos (filos) em torno de uma mesa no café ou na tasca com umas bejecas.
Se tens conhecimento infinito mas nao tens como o transmitir (deves tornar te squizofrenico de certeza) é equivalente a falares muito sem nada para dizer.

28 março, 2006 01:33  

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